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Par conséquent, nous pouvons en conclure que la volonté d’échapper à l’attraction de la planète Terre, communément appelée pesanteur terrestre, passe par une étude précise de la vitesse à acquérir pour quitter l’atmosphère de la Terre, puis par une analyse de la propulsion, soit la poussée (force) nécessaire pour échapper à l’attraction terrestre. 

 

Ainsi, nous avons pu développer ce que l’on appelle la vitesse de libération, aussi fréquemment appelée la vitesse d’évasion, c’est-à-dire la vitesse minimale théorique que doit atteindre un corps pour s’éloigner indéfiniment d’un astre malgré l’attraction de ce dernier. La mise à contribution du logiciel Dynamic a également permis de modéliser la trajectoire d’une fusée en fonction de la vitesse. Toutefois, la vitesse n’est pas le seul paramètre à prendre en compte dans notre étude…

 

En effet, comme nous l’avons déjà évoqué, une certaine force au décollage, qui concerne l’étude de la propulsion dans notre TPE, est indéniablement nécessaire pour permettre l’ « arrachement » d’un objet à la pesanteur terrestre. Une étude théorique du principe fondamental de la dynamique (PFD) a donc été nécessaire, accompagnée d’une vérification de la seconde loi de Newton (ou PFD) à l’aide de l’expérience de la table vibrante et du logiciel Labview.

 

Enfin, une application plus concrète avec la réalisation d’une fusée à eau a permis d’apporter de la pratique à notre étude pour vérifier les études abordées précédemment, tout en vérifiant le principe de l’action-réaction.

CONCLUSION

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